Plus d’une soixantaine de formations professionnelles, collégiales et universitaires mènent vers le domaine minier.
La technologie se développant à un rythme effréné, il est impératif d’adopter dès maintenant une stratégie pour préparer une relève compétente et qualifiée.
Pour souligner la Journée internationale de la femme, l'Institut national des mines propose une série de trois capsules
Durant les échanges, l’importance du partenariat avec un grand « P » entre les deux secteurs a été maintes fois soulignée.
Le secteur minier offre une variété de formations professionnelles, collégiales et universitaires. Voici les 15 formations en demande en 2015, dans le secteur minier québécois.
Le diplômé en Techniques de laboratoire du Cégep de Lévis-Lauzon, Jérôme Robert, ne connaissait pas le domaine minier avant de réaliser son premier stage.
Figure importante du Québec en formation et recherche dans le secteur minier, Michel Aubertin se consacre à l’éducation depuis plus de 30 ans.
À l’aube de l’année 2015, l’Institut national des mines (INMQ) fait un bilan très satisfaisant des réalisations accomplies au cours de la dernière année.
Utiliser davantage les technologies de simulation minière en les adaptant au contexte éducatif public québécois.
En marge de Québec Mines 2014, près de 75 personnes ont participé le 17 novembre dernier à la journée de réseautage et d'échanges organisée par l'Institut national des mines.
Actuellement en construction, le projet diamantifère Renard de Stornoway emploie 200 travailleurs, essentiellement des employés d’entrepreneurs en travaux civils.
Cette étude sur l’enseignement par simulateur traite de leur utilité pour former les opérateurs miniers, un poste clé dans toute exploitation minière à ciel ouvert ou souterraine.