Parlant le français, l’anglais, l’anicinabe et le cri, Salomée McKenzie a grandi à La Sarre en Abitibi-Témiscamingue et a vécu quatre années dans la communauté autochtone de Pikogan. Elle[...]
Originaire de l’Ontario, Ken Taylor est un autochtone de la communauté Ojibwe rêve : devenir mécanicien dans le secteur minier.
Organisée à l’initiative du Conseil de bande de Chisasibi et avec l’appui du Secrétariat aux alliances économiques Nation Crie Abitibi-Témiscamingue (SAENCAT) basé à Val-d’Or, cette[...]
La formation professionnelle est une voie à privilégier pour instaurer un mode d’apprentissage adapté aux jeunes du Nunavik qui envisagent une carrière valorisante au sein du secteur minier, un[...]
La Route inuite proposée par l’Institut national des mines vise à améliorer la desserte en formation minière au Nunavik.
Cet essai se veut une contribution à la situation au nord du 49e parallèle dont découlera une offre de formation adaptée à la clientèle autochtone pour répondre aux besoins identifiés.
Dans sa prochaine publication, l’INMQ va exposer les principales initiatives mises en place par des CFP et des entreprises minières au Québec qui facilitent le parcours des Autochtones.
Le besoin de pourvoir de nombreux postes en exploration et en exploitation minière pose particulièrement le défi de l'accès à la formation pour la main-d'œuvre autochtone et inuite.
Cet article s’appuie sur l’Estimation des besoins de main-d’œuvre du secteur minier au Québec 2015-2025 qui met en évidence l’importance que prendra le développement nordique dans[...]
Durant les échanges, l’importance du partenariat avec un grand « P » entre les deux secteurs a été maintes fois soulignée.
En marge de Québec Mines 2014, près de 75 personnes ont participé le 17 novembre dernier à la journée de réseautage et d'échanges organisée par l'Institut national des mines.
En 2013, il existait plus de 150 ententes de partenariat au Canada entre les compagnies minières et les communautés autochtones.