Lancement du colloque virtuel 2021 de l’INMQ : Employabilité et adaptabilité professionnelle : pour une main-d’œuvre qualifiée et compétente | 25 novembre 2021

PROGRAMMATION DU COLLOQUE | 25 novembre 2021 | 9 H À 11 H 30 | GRATUIT
Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, le secteur minier doit se réinventer pour assurer la relève et favoriser l’employabilité et l’adaptabilité professionnelle de leur personnel. L’insertion socioprofessionnelle de la main-d’œuvre autochtone, la reconnaissance des acquis et des compétences, l’avènement des véhicules électriques et l'exploitation de minerai stratégique sont tous des enjeux ayant un impact sur les compétences requises et la formation à offrir.
Ayant attiré des participantes et des participants de partout dans le monde à la dernière édition, l’événement se réalisera encore une fois sous forme virtuelle afin de rendre accessible les avancées sociales, environnementales et technologiques du secteur minier québécois, mais aussi du secteur de l’éducation. Découvrez la programmation de ce 6e colloque de l'organisation.
MOTS DE BIENVENUE

Animation :
Mme Karine Lacroix, conseillère stratégique en communication | Institut national des mines
M. Guy Belleau
Chef des opérations chez ArcelorMittal Mining Canada G.P. / ArcelorMittal Infrastructure Canada G.P.
Président du conseil d’administration - Institut national des mines
Mme Sarah Tremblay
Présidente-directrice-générale par intérim
Institut national des mines

CONFÉRENCE 1

> Stratégies concrètes d’insertion socioprofessionnelle des travailleuses et des travailleurs autochtones
Dans la poursuite de leurs recherches et d’expériences terrain, les conférenciers vous présentent le modèle d’intervention socioprofessionnelle des travailleuses et des travailleurs autochtones qui comprend quatre dimensions : la planification, la sécurisation culturelle, l’accompagnement et la formation. Bien qu’elles soient toutes importantes, une emphase sera mise sur la formation, pierre angulaire de l’insertion pour tous les travailleuses et travailleurs au sein de l’organisation.
Le modèle s’inscrit dans la poursuite des efforts de la Commission de développement des ressources humaines des Premières Nations du Québec (CDRHPNQ) afin de mettre en place et de soutenir toutes les initiatives nécessaires au développement et à l’employabilité de la main-d’œuvre autochtones, et ce, dans un contexte culturellement adapté.

Mme Émilie Deschênes, professeure à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Mme Émilie Deschênes est professeure et docteure en éducation. Ses champs d’expertise portent sur l’éducation et la formation des Autochtones, de même que sur la gestion de l’éducation et de la formation dans des contextes autochtones. Sa passion l’a menée à travailler avec différents partenaires en recherche et en intervention pour une meilleure insertion des travailleurs autochtones.
M. Alexandre Nana, conseiller à l'innovation et à la recherche à l'Institut national des mines
M. Alexandre Nana est conseiller à l’innovation et à la recherche à l’Institut national des mines du Québec où il dirige et coordonne les travaux d’analyse de la mine 4.0 notamment les besoins de formation et compétences recherchées, ainsi que ceux liés aux dossiers autochtones amorcés par l’Institut en 2018. Il est titulaire d’un doctorat Ph. D. en ingénierie et termine actuellement un diplôme de second cycle en évaluation de programmes.
CONFÉRENCE 2


Rachel Bélisle est professeure au Département d’orientation professionnelle de la Faculté d'éducation de l’Université de Sherbrooke (Québec) et chercheuse au Centre d’études et de recherches sur les transitions et l'apprentissage (CÉRTA). Ses travaux portent notamment sur les pratiques de reconnaissance d’acquis, du secondaire à l’université, et leur rôle dans les parcours atypiques et la saisie d’opportunités de formation à l’âge adulte. Elle a dirigé, en 2018-2019, la publication du rapport Reconnaissance des acquis et des compétences en formation minière de niveau secondaire.
CONFÉRENCE 3


Détenteur d'une maîtrise en administration publique de l'École nationale d'administration publique, Nicholas Théroux est également titulaire d'un baccalauréat en histoire de l'Université de Sherbrooke. Ayant pour mandat d'effectuer des recherches visant à mieux documenter les innovations en formation minière à l'échelle mondiale, il se spécialise notamment dans l'analyse des tendances technologiques susceptibles d'avoir un impact sur la formation minière au Québec.
CONFÉRENCE 4


Martine Paradis, ing. M. Sc. PMP, est Vice-présidente ingénierie et environnement chez Nouveau-Monde Graphite. Détentrice d'un baccalauréat en génie géologique et d'une maîtrise en science de la Terre, elle cumule plus de 20 ans d’expérience dans le secteur minier et environnemental avec un passage dans le génie-conseil, au ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec et sur de nombreux sites miniers. Elle a contribué à de nombreuses études et travaux de terrain en lien avec des infrastructures environnementales critiques, la restauration de sites miniers actifs et abandonnés et l’intégration de l’environnement à l’ingénierie et à l’exploitation minière.